Zone d'identification
Cote
Titre
Deuxième phase (1971-1984)
Date(s)
Niveau de description
Série
Étendue matérielle et support
Zone du contexte
Nom du producteur
(1932-2021)
Nom du producteur
(1893-1980)
Institution de conservation
Histoire archivistique
Modalités d'entrée
Zone du contenu et de la structure
Portée et contenu
Les grandes étapes de ces travaux sont :
En 1972, les architectes et ingénieurs mandatés par la Ville sont rejoints par l’archéologue C. Donnay-Rocmans mandatée par le Ministère de la Communauté française pour exercer la surveillance archéologique du chantier et mener les recherches archéologiques et historiques nécessaires aux architectes.
- le démontage du portail baroque suivi de celui de la fenêtre gothique pour faire place à la construction de l’abside occidentale qui est rétablie suivant les lignes générales des données archéologiques conservées avec ses deux galeries de circulation ;
- le niveau de chœur qui était surélevé est rétabli ;
- la remise à hauteur des tourelles et la restauration du coffre : réfection des parements, rétablissement des baies disparues ou bouchées, de l’étage ajouré de l'"attique" qui avait été remonté aveugle antérieurement, et des porches d’entrée au nord et au sud de l’abside condamnée au XVIIIe siècle ;
- la consolidation des voûtes et des coupoles subsistantes ;
- la pose de charpentes métalliques et sous-toitures en béton qui sont ardoisées ;
- le dégagement des porches latéraux permettant à la collégiale de retrouver son plan bicéphale ;
- le dégagement des arcades des chapelles-tribunes vers le chœur qui étaient murées ;
- le démontage de toutes les maçonneries et arcs de renforts des parties supérieures ;
- la restitution des coupoles de la salle "impériale" au départ des vestiges conservés permettant à la salle de retrouver l’unité de son volume ;
- le rétablissement de l'"attique" sous corniche qui est exécutée "ajourée" plutôt qu’aveugle comme il était prévu au départ ;
- le démontage du clocher existant et la mise en place d’un clocher octogonal.
En 1972, les architectes et ingénieurs mandatés par la Ville sont rejoints par l’archéologue C. Donnay-Rocmans mandatée par le Ministère de la Communauté française pour exercer la surveillance archéologique du chantier et mener les recherches archéologiques et historiques nécessaires aux architectes.